LES MANIFESTATIONS DE L'ANORGASMIE
Toutes les femmes ne sont pas capables d’éprouver un orgasme intra-vaginal alors même qu’elles ont un orgasme lors de l’auto-érotisation ou lors de caresses clitoridiennes.
L’absence de cet orgasme considéré comme plus profond et plus complet est un motif fréquent de consultation, l’orgasme clitoridien étant qualifié de plus superficiel généralement.
L’invisibilité du symptôme et la recherche d’une sensation parfois jamais encore éprouvée compliquent le diagnostic et le processus thérapeutiques.
LES ORIGINES DE L'INCAPACITÉ À JOUIR
- Une stimulation sexuelle inadéquate par un partenaire débutant, impatient ou maladroit
- Une sensualité archaïque féminine peu développée : la découverte de l’auto-érotisme lors de l’adolescence de la jeune fille ne s’est pas
- Des suites de traumatismes physiques ou psychiques (attouchements, viols, incestes, problèmes de santé, deuils, dépression)
- Un manque de confiance en soi
- Un manque d’estime de soi
- La mésentente de couple : inadaptation érotique, surmenage, carrière, grossesse, suites d’accouchement, conflits
- Des douleurs lors des rapports : vaginisme, dyspareunie, problèmes de santé, ménopause, sécheresse vaginale
- Une absence de désir et de libido
- Une éjaculation précoce ou une dysérection du partenaire
LE TRAITEMENT
LES MANIFESTATIONS DE L'ANORGASMIE
Toutes les femmes ne sont pas capables d’éprouver un orgasme intra-vaginal alors même qu’elles ont un orgasme lors de l’auto-érotisation ou lors de caresses clitoridiennes.
L’absence de cet orgasme considéré comme plus profond et plus complet est un motif fréquent de consultation, l’orgasme clitoridien étant qualifié de plus superficiel généralement.
L’invisibilité du symptôme et la recherche d’une sensation parfois jamais encore éprouvée compliquent le diagnostic et le processus thérapeutiques.
LES ORIGINES DE L'INCAPACITÉ À JOUIR
- Une stimulation sexuelle inadéquate par un partenaire débutant, impatient ou maladroit
- Une sensualité archaïque féminine peu développée : la découverte de l’auto-érotisme lors de l’adolescence de la jeune fille ne s’est pas déployée (éducation culpabilisante, famille peu tournée vers la tendresse et l’intimité, libido faible au départ)
- Des suites de traumatismes physiques ou psychiques (attouchements, viols, incestes, problèmes de santé, deuils, dépression)
- Un manque de confiance en soi
- Un manque d’estime de soi
- La mésentente de couple : inadaptation érotique, surmenage, carrière, grossesse, suites d’accouchement, conflits
- Des douleurs lors des rapports : vaginisme, dyspareunie, problèmes de santé, ménopause, sécheresse vaginale
- Une absence de désir et de libido
- Une éjaculation précoce ou une dysérection du partenaire